En 1700, je suis sorti d’une difficile guerre contre les Ottomans (mais je me suis vengé sur des pays issus des Ming) et ai vu la nouvelle institution émerger en Espagne… Au moins, j’ai 100 en absolutisme, ce qui rend mes conquêtes plus rapides.En 1701, mon dirigeant meurt et son remplaçant est moyen. En revanche, son héritier est très prometteur.
Puis, ravi de l’aide de mon vassal transoxianien, je me dis que je vais garder mon « tampon » à l’ouest : la Perse comme alliée et Transoxiane comme toutou (que je ne compte pas diplo-annexer, donc). Je fais de Transoxiane une marche, ce qui baisse l’argent que je recevrai mais augmentera énormément son potentiel militaire (parce qu’il va bien falloir se protéger contre l’Ottoman).
Toujours en quête de succès plus ou moins malins, je fabrique au maximum des « bannières mandchoues » via du développement ou de la conversion culturelle même si c’est peu optimal (trop de cavalerie). J’arrive à cent. Une bonne chose de faite, maintenant je vais pouvoir me débarrasser de pas mal de cavalerie, ou du moins ne plus en recruter.
1702 et une nouvelle technologie diplomatique.
Puis, un événement favorable que j’apprécie beaucoup.
Changement d’alliance à l’ouest : l’Espagne rompt la notre et je me rapproche de la République des Deux Nations. 1703, je prends une nouvelle capacité qui me sera, je suppose très peu utile.
Septembre 1703, je décide de clarifier la situation au sud et j’attaque Ayutthaya (et son allié la Bretagne).
Comme Bengale l’attaque de son côté, forcément, c’est vite plié. En janvier 1708, je prends ce que je peux.
Le Japon me devance pour adopter la dernière institution du jeu. En novembre 1708, alors que l’Ère de l’absolutisme va s’achever, tant que j’ai trois objectifs de remplis, je décide d’activer mon Âge d’Or : cinquante ans de bonus !
Novembre 1708, je vais attaquer Ming pour éviter toutes ces enclaves.
Comme je suis fourbe, je m’attaque surtout à son allié, Champâ. En avril 1709, j’en mange un bon morceau. Septembre 1709, je limite Ming à une seule enclave que j’envahirai dans un siècle.
Et en 1710, nous entrons dans l’Ère des Révolutions, ce moment où tout s’accélère.
Nouvelles des Ottomans en 1711 : ils abolissent l’esclavage, adoptent la dernière institution et mettent la Grande-Bretagne en rival. Pendant ce temps là, le Japon fait plier le Portugal, après avoir vaincu la Castille (qui n’est plus grand chose, vu que l’Espagne existe). En novembre 1712, je réponds à l’appel à l’aide de mon allié, sans vraiment bouger.En 1713 et 1714, je prends des techs, tranquillement, malgré le léger surcoût.
En décembre 1715, la République des Deux Nations donne un peu d’argent à son agresseur autrichien.
En février 1718, j’attaque, par la bande, le Japon en m’en prenant aux Aïnous. Premier coup de chance, j’ai ma première capacité de l’ère. Je prends le bonus d’artillerie pour les sièges.
Et deuxième coup de chance, mon monarque 6/4/4 (!!) arrive au pouvoir.
En juin 1720, je renvoie le Japon dans son archipel (pour l’Asie en tout cas, car en Amérique…). Ses provinces coûtent cher vu qu’il n’est pas le belligérant principal mais juste un allié.
Puis, en 1724, j’attaque Champâ, surtout pour m’en prendre à Ayutthaya (déjà en guerre) et à Brunei.
Bilan de la session : des guerres assez calmes avec progrès chez les Ming, au Japon ou en Indochine, pas d’institution (il faut dire qu’à force de prendre de nouveaux territoires..), toujours un peu de colonies en Indonésie, rien de bien particulier. Forcément, je ne savais pas encore que la révolution allait approcher.