En 1775, j’ai pris pied en Amérique en annexant le Japonais (faut pas chercher, j’ai aussi récupéré les Canaries), Indochine et Indonésie sont quasiment toutes à moi. Reste l’Inde, voire des territoires plus européens
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Comme toujours, je reste à la pointe de la technologie militaire en prenant une nouvelle tech.
Mais comme j’ai des doctrines offensives à compléter, je ne m’égare pas trop en points militaires.
Comme j’en avais un peu assez de ce tributaire nomade au milieu de mon territoire sibérien, je l’ai libéré de son tribut pour l’attaquer quelques années plus tard (octobre 1765).
Six mois plus tard, c’est gagné. 
Y a pas à dire, le nom est plus harmonieusement placé.
Tandis que les Ottomans doivent relâcher une province (à cause d’une guerre avec le Danemark, avril 1776) mais se rattrapent bien un an plus tard, j’ai de nouvelles nations coloniales, et donc un succès de plus (juillet 1777).
En avril 1778, je retourne en Inde (Bengale, et son allié Delhi). Je fais intervenir la Perse, bien entendu.
En novembre 1779, paix séparée avec Delhi (quatre provinces, réparations, argent et annulation de l’alliance avec les Ottomans, encore).
En mars 1780, deux nouvelles doctrines offensives (siège plus rapide, miam).
En septembre 1780, il est temps d’amputer Bengale d’une bonne partie de sa côte. C’est rapide ou Ceylan ?
C’est à partir de ce moment que j’ai changé mon commerce en collectant à Pékin et aussi en dirigeant le commerce vers Bengale où je collecte aussi (malgré le malus) dans le but de vider les flux commerciaux avant qu’ils ne fassent le tour de l’Inde.
En janvier 1782, encore plus de troupes !! 
Et en juin 1783, le groupe de doctrines offensives est terminée (discipline, yessss !).
Du coup, mon regard se tourne à nouveau vers l’ouest car… en juillet 1782, les Ottomans deviennent un souci.
Je bouge mes troupes vers l’ouest, et regarde les alliances. Les Ottomans sont alliés à l’Afghanistan, mon tributaire. De mon côté, tout le monde peut venir (même s’il faut forcer la main ou promettre des territoires). Sauf que la Suède décide d’attaquer le Danemark et du coup, elle ne veut plus venir. Tant pis, on devrait être assez. Juillet 1784, début de l’offensive contre les Ottomans. Objectif de guerre : une province proche de ma marche, cela sera facile à défendre ou reprendre. 
Premier coup de théâtre, l’Afghanistan rejoint les Ottomans. 
En janvier 1785, après avoir occupé le territoire, je signe une paix blanche avec l’Afghanistan : un front en moins. 
La guerre se passe assez bien. Août 1786, 17% de score de guerre et un territoire ottoman bien occupé (mais sa capitale est fort loin).
Un an après, 29% de score de guerre. A un moment, la Suède ayant terminé sa guerre, veut bien nous rejoindre. Elle mettra du temps à venir mais ses troupes solides feront merveille.
En juin 1788, voilà ce que je pourrais prendre (également une partie pour mes alliés). Non, pas assez.
1789, trois nouvelles techs dont un bienvenu bonus en tactique, moral et vitesse. 
Juin 1789, 58% de score de guerre. 
En février 1790, après près de six ans de guerre, je fais plier les Ottomans. En donnant des territoires à mes alliés et en faisant annuler la garantie de la Moscovie. 
Je suis ravi de cette victoire car il va de soi que les Qing sont la nation la plus puissante du monde. 
On disait que l’indépendance de la Moscovie n’est plus garantie par les Ottomans ? Juin 1790, à l’attaque !
En décembre 1791, c’est plié. 
La Moscovie est partagée entre nous trois. Ouch.
Je me tourne alors vers l’Amérique. J’ai libéré quelques Amérindiens de leur tribut pour pouvoir les attaquer et j’ai la bonne surprise de voir que « Colombia Qing » attaque les Pieds-Noirs. De mon côté, je m’en prends aux Haïdas. En mars 1793, c’est plié. 
Voulant placer mes pions dans le nouveau monde, je soutiens des colonies anglaises pour leur indépendance. 
En avril 1794, il est temps d’aller envahir les frères indiens. Toujours aidé de la Perse, bien entendu. 
En juillet 1795, de nouvelles technologies arrivent.
En 1795, paix séparée avec Delhi (et un petit cadeau pour les Perses). 
Le jeu a aussi des événements pour mettre en avant des femmes ayant joué un rôle dans l’histoire. C’est plutôt bien vu. 
Et parfois des événements avec un héritier 5/6/4….
En février 1798, le grignotage continue. 
Comme je veux éviter de combattre les puissances européennes (France révolutionnaire, Espagne, Grande-Bretagne, Brabant, Bretagne) car aller les assiéger en Europe, c’est fastidieux, j’ordonne à ma nation coloniale d’attaquer son homologue britannique. Les probabilités de victoire sont faibles alors je lui donne plein d’argent et laisse mes troupes à proximité pour éliminer les rebelles internes. 
En juin 1798, coup de chance, mon héritier arrive au pouvoir : 5/6/4. 
Petite vue sur mon onglet militaire. Mes généraux sont assez monstrueux. Et puis 718k hommes avec un moral de 9.31
Bref, en 1800, Qing est au plus fort de sa puissance. Il faudrait juste récupérer le mandat céleste du Ming moribond. 
Bilan de la session : le pied. Foutre une rouste aux Ottomans, s’étendre en Inde, Russie et en Amérique, continuer à coloniser la Sibérie, avoir trop d’argent (46k ducats). Peu de chances de rattraper au score les Ottomans mais ravi de les avoir battus. Il reste vingt ans de jeu.
