Arnoul a déjà 48 ans quand il hérite du trône de son père. Ce dernier, Robert a failli réussir à devenir Kaiser, mais il est mort (à 76 ans) juste après avoir déclaré la guerre, ce qui a mis un terme à celle-ci.
Fin 1307, le Kaiser reçoit un ultimatum.

Il ne cède pas et la guerre est déclarée. Et le 15 août 1310.


Arnoul a accompli le rêve de Géraud, en 1066 : un membre de la maison de Genève est sur le trône du Saint-Empire romain. Reste à savoir s’il pourra rester en place mais c’est une autre histoire.

J’aurais bien aimé gardé la culture française mais ça n’a pas été possible…
Bilan de la partie.
Objectif du jeu atteint en moins de 250 ans : 1066 -1310 (version du jeu 2.6.3).
Il y a sans doute moyen de faire plus vite, je ne suis pas un très bon joueur. Comme souvent dans ce jeu, j’avais des plans et tout n’a pas marché comme prévu. Des fois oui (mettre son épouse sur un trône pour en hériter ensuite), des fois non (usurper/créer le royaume de Bourgogne). Je pense qu’il « faut » avoir un objectif, des plans mais ne pas hésiter à en changer si des occasions se présentent (jeu de vautour…). J’ai pris énormément de risques en laissant mes personnages tenter la quête de l’immortalité ou en les laissant être nommés commandant. En étant un peu plus prudent, ils ont vécu jusqu’à 70 et 76 ans, ça change tout. Comme souvent, le début est le plus dur (surtout en tant que simple comte). Ensuite, (d’autant plus en primogéniture), on peut faire boule de neige assez vite (sauf Mongols ou Aztèques, bien entendu).
C’était ma première partie avec Conclave et la gestion des vassaux est beaucoup plus complexe : savoir lesquels récompenser, lesquels « épouser » pour les empêcher de rejoindre une faction, c’est dur mais ça en vaut la chandelle. J’ai appris des trucs et me suis amusé, objectif atteint. J’espère que vous avez aussi pris du plaisir à lire ces compte-rendus de partie.
