Nous sommes toujours dans la première dynastie de la campagne (en Inde, vers le Bengale) mais incarnons notre troisième génération. Le père de Vasumati est mort empoisonné. Mais heureusement, grâce au changement de mode de succession (agnatico-cognatique), elle peut régner. Et en plus, elle est tout juste majeure. Des stats assez moyennes, sauf en martial. Et un enfant à venir !
Son fils naît en avril 1131, la succession de la dynastie est assurée. Petit bug quand fin avril 1131, le père (mort) est content de ne plus être déprimé… 
En octobre 1132, le timing est idéal pour faire une guerre en vue de récupérer un comté (en bleu ci-dessous).
La guerre dure et ce n’est pas si simple car le territoire ennemi est grand et donc ne cède pas facilement. A 99% de score de guerre (qui stagne car sans bataille majeure, il faut 36 mois), en juin 1135, une révolte éclate. Forte de 6000 hommes. 
Vasumati est enceinte mais aussi au front. C’est brave mais pas forcément une bonne idée. 
Argh. 
En octobre 1135, la guerre de revendication est enfin gagnée. 
Hélas, le mois suivant, c’est la grippe qui frappe. 
Cela n’empêche nullement Vasumati de combattre et même d’améliorer sa science des armes ! 
Le 23 janvier, la révolte est matée !! 
Et dix jours plus tard…. 
Au revoir, Vasumati : six ans de règne, c’était fort peu. Tu étais assez badass mais la maladie a été plus forte. 
Je lance 1d10. Une chance sur 10 (10) de continuer. 6, je change de dynastie et laisse l’enfant de quatre ans tenter de faire fructifier sa dynastie. 
Bilan de la dynastie : pas évident. J’ai eu de la chance avec un titre élevé (roi) mais on était bien enclavé entre des royaumes puissants. J’ai pu manger les voisins les plus petits, puis devenir tributaire et me libérer de mes chaînes. Globalement, le domaine s’est agrandi.
Visions du monde en 1136. 
Quelle sera notre prochaine incarnation ? Ah tiens, on part en Afrique ! 
Un sultan de 45 ans, manchot et défiguré… 
A suivre !