
Kottabhanja (on va dire Kotta) a vingt-trois ans et déjà un héritier quand il monte sur le trône. Son père lui a laissé un empire fort puissant avec un gros ennemi à l’ouest (mais de moins en moins puissant vu qu’il se fait grignoter depuis quelques décennies) et une guerre (royaume de Gujarat) qui vient de commencer.

Kotta se concentre encore plus sur le militaire (le focus a été choisi avant que je ne prenne le personnage mais bon pourquoi pas). Et c’est vraiment sa force. En mai 1243, la guerre est gagnée et Kotta se rapproche de pouvoir usurper le Rajasthan (s’il avait la bonne religion, mais ce n’est qu’un détail).
L’empire n’a jamais été aussi grand.
Et Kotta est au mieux de sa forme.

Pourtant Kotta se blesse, ce qui est un peu inquiétant car il lui reste tant à faire.

Vu qu’il n’y a rien à faire à l’extérieur, observons un peu la menace mongole. Elle reste forte mais s’est bien émoussée.

Le père de Kotta avait essayé en vain d’assassiner le précédent empereur mongol mais trop peu de gens voulaient le soutenir. Là, c’est un peu pareil mais Kotta tente quand même. Et puis un jour.

Conséquence : l’empire mongol se fracture et disparait de la surface de la terre.

Kotta continue à devenir un meilleur guerrier. Et à s’intéresser à la fauconnerie.
Et en plus, sa blessure devient une balafre hyper badass !

Botta n’oublie pas de donner plus de pouvoir aux femmes de son empire. Avec tout ça, Botta prend confiance en lui et devient brave.

En 1252, fidèle à la tradition familiale, il présente son héritier aux vassaux. Et puis… son voisin fait une erreur fatale en se retirant du pacte défensif. Je crois que c’est le programme qui fait des vérifications et il arrive qu’une personne quitte le pacte et le rejoigne quelques jours plus tard. Clément m’avait prévenu donc j’étais à l’affût de ce genre de chose. Rassuré de ne pas avoir à faire face à d’autres ennemis, Botta déclare la guerre d’assujettissement immédiatement.


Au passage, Kotta obtient 15 000 or et un petit succès au passage. Le Rajasthan se défend mais ne fait pas le poids.

Fin 1255, la guerre est gagnée. Kotta (qui a entre-temps changé de religion, enfin je crois, ça va, ça vient) usurpe la couronne du Rajasthan.
L’ancien samrat devient simple comte et ses vassaux se dispersent.

Kotta usurpe et redistribue les titres restants, il vassalise pacifiquement les territoires esseulés.
En 1256, son héritier est majeur.

Et Kotta continue à devenir un meilleur guerrier. En 1260, à 41 ans, Kotta est impressionnant.

Kotta continue à faire la guerre aux scories qui l’empêchent de former son empire. Certains capitulent en quatre jours. En janvier 1265, il conquiert le territoire de l’ancien samrat du Rajasthan.
1266.


Kotta fait passer une loi pour empêcher les guerres internes. Mais en 1267, on lui diagnostique un cancer !

Mais les vassaux continuent à s’étendre pour leur samrat : en Afghanistan par exemple, ou à l’intérieur du pays. Quand il peut les aider, Kotta rejoint leur guerre pour accélérer le processus (apparemment ça ne marche pas pour les vassaux directs).
1272, Kotta ralentit le cancer, pour un temps.

Grâce à tous ses exploits, Kotta devient le magnifique. Age at least 30, ruled for 15 years, Quick or Genius
, education at the highest or second highest level (Diplomacy, Martial or Intrigue).
Kotta a réussi à fieffer son fils (en devenant bouddhiste un moment) mais ce dernier n’est pas vraiment finaud. Il lui propose de marier son petit-fils avec sa fille.

En 1278, cela sent la fin, Kotta devient infirme.
Ensuite commence une partie un peu pénible où je pensais avoir tout le nécessaire pour accomplir mon objectif. Mais il faut savoir que chaque province (comté) est composée de baronnies (châteaux), cités et temples (ou leur nom local). Il arrive qu’on contrôle la province mais pas tous les éléments la composant. Sauf que pour trouver où c’est, c’est fastidieux. J’ai mis beaucoup de temps à trouver un temple dépendant d’un seigneur indépendant extérieur puis à attendre de ne pas avoir trop de « menace » générée par moi.
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Et en effet, en 1280.
Kotta meurt sans avoir pu unifier les trois empires. Pourtant, il a fait de grandes choses durant son règne.

Kottabhanja passe le relais à son fils, Bhimasena, qui parait bien plus limité.

On y est presque !!!
Très déçu de ne pas avoir fini avec ce personnage, mais j’ai mis du temps à identifier ce qui manquait puis à tenter de le récupérer. Toujours le focus martial, c’est monstrueux en bonus à la longue. Et la mort du Mongol a été un coup de maître non voulu. Reste plus qu’à finir (il était fort tard quand ça s’est passé, je ne voulais pas finasser donc ai pu rater des occasions par manque de précaution)