
Kulastambha (on va dire Kulast) a vingt-huit ans et déjà un héritier quand il monte sur le trône. Son père lui a laissé un empire fort puissant avec un gros ennemi à l’ouest (mais de moins en moins puissant vu qu’il se fait grignoter depuis quelques décennies) et une guerre en cours quasiment gagnée pour le royaume de Delhi.

Et effectivement, cinq mois plus tard, Kulast est victorieux.

La technologie avançant, Kulast promulgue des changements : les vice-royautés sont possibles (c’est une sorte de titre de roi non héréditaire, fonction que je n’ai pas utilisée) et, contre un léger malus d’opinion, Kulast peut avoir plus de vassaux directs. Je vous épargne les allées et venues entre bouddhiste caché puis révélé. La seule chose importante qui change, c’est que les bouddhistes peuvent fieffer leur héritier. Kulast bichonne son royaume et présente son héritier à ses vassaux.
En 1233, le Mongol s’est encore agrandi aux dépends du Rajasthan et des Arabes.

Peu après, l’héritier est prêt, c’est un fin diplomate et guerrier.

En 1236, la situation n’est pas trop mauvaise. La trêve avec le Rajasthan est terminée, la menace a baissé, Kulast a assez de karma, donc assujettissement !! La cible a un tiers des hommes de l’empire…

Mais pendant la guerre, Kulast, continue à faire des affaires.
En 1239, c’est gagné.

Mais là, Kulast se sent faible. Heureusement, son médecin est compétent.

Kulast découvre une nouvelle occupation : la fauconnerie. En janvier 1241, Kulast fieffe un jeune prétendant et pousse sa revendication sur un royaume limitrophe.

Hélas, Kulast ne verra pas la fin de l’année, il meurt d’une pneumonie.

Ainsi s’en va Kulastambha au court règne. Il a assuré l’essentielSon fils, Kottabhanja, est très prometteur.

Comme son père, il a une guerre à finir. Tout devrait bien se passer. Et ensuite, de futures conquêtes, voire les Mongols à combattre !
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Règne trop court, je n’ai pas réussi à lancer un assujettissement (mais j’ai fini celui lancé par le père). Entre les trêves et la menace que mes conquêtes génèrent, y a du temps qui passe…