Petit tour d’horizon avant d’enlever la pause.
Zoomons un peu sur la France et ses voisins immédiats : Bretagne, Angleterre, Bourgogne, Provence, États pontificaux, Savoie
La configuration diplomatique est favorable car la Castille n’a pas mis en rival (sinon, j’aurais relancé le jeu, mais chut).
Mon monarque (4/2/4) est plus que correct. Les nations qui m’ont mis en rival sont les suivantes : Angleterre, Bourgogne et Autriche (ça tombe bien, je dois prendre Vienne). Je mets en rival Angleterre, Aragon et Savoie. J’espère bien pouvoir en éclipser un des deux derniers pour obtenir de la projection de puissance. Je m’allie à la Provence (pour le moment) et la Castille. Dès le départ, je garantis l’indépendance de l’Écosse mais vais plus loin en m’alliant avec elle, vous verrez pourquoi après. Étant catholique, on améliore les relations avec le pape, on ne sait jamais.
Le premier objectif se trouve en Angleterre et pour plusieurs raisons. Déjà, si je veux obtenir Londres et récupérer le territoire français, il faut bien que je m’y attaque. Ensuite si je vise des « petits sauts » jusqu’à la Baltique en évitant les zones à fort développement et/ou faisant partie du Saint-Empire, je dois passer par la Mer du Nord. Mon principal souci est l’événement décrivant la cession du Maine (suite à la trêve de Tours). J’ai deux options : attaquer l’Angleterre mais en ce cas, je serais seul contre elle et ses alliés. Ou attendre que l’événement arrive, ne pas céder et dans ce cas, c’est l’Angleterre qui m’attaque et dans ce cas, mes alliés vont m’aider. Prudent, je préfère temporiser et choisir la seconde solution. Sachant ce qu’il va arriver, et me méfiant de la marine anglaise, je positionne mes armées en Écosse : comme c’est mon allié, mes troupes ne seront pas « black flagged » (unités hors de leurs territoires devant repasser par leur territoire pour pouvoir combattre). Si tout se passe comme prévu, je pourrais occuper l’île ce qui fera céder plus facilement l’ennemi. Et en janvier 1447.
Comme prévu, l’Angleterre m’attaque. Écosse, Castille et Provence me soutiennent. J’attaque depuis l’Écosse et laisse le continent à mes alliés du sud. Deux mois après, la situation va plutôt bien. Mais l’Anglais résiste. Début novembre (score de guerre : 44%), une grosse bataille a lieu en Angleterre. Jean Bureau est un excellent général.
Fin novembre, stackwipe.
Mais l’Anglais ne s’avoue pas vaincu et fait appel à des mercenaires, ce qui me force à recourir à l’emprunt. En mai 1449, je prends une technique militaire vitale car elle m’apporte un gain en tactique et en moral.
Une bonne nouvelle venant de loin, la Savoie est éclipsée !
Retour à la guerre. En juin 1449, il est temps d’arrêter tout ça.
Au lieu de récupérer toutes les possessions anglaises continentales, je décide de m’installer sur son île.
Je prends tout de même la Gascogne pour éviter que la Castille ne lorgne dessus. En gardant la Normandie à l’Angleterre, je m’autorise dans le futur à avoir un objectif de guerre proche de chez moi donc facile à prendre. La Cournouaille est donc à moi : certes, c’est pauvre mais cela fait une tête de pont.
Cela me permet d’accomplir une mission et d’avoir des revendications supplémentaires.
En 1450, la Renaissance apparaît à Montferrat.
Bilan de la session : tout s’est passé comme prévu. La guerre fut longue mais j’ai vraiment voulu fortement handicaper l’Angleterre ce qui a créé une longue trêve. Il va falloir que je regarde ailleurs pour m’étendre : Bourgogne, Provence, Savoie, États du Pape… Il reste du boulot.