En 1550, j’ai échoué à prendre des provinces à l’Angleterre (son alliance avec la Castille) mais grâce à une guerre des Ottomans, j’ai pris deux provinces à l’Autriche. Je suis loin de mes objectifs, cela dit.
Je continue les doctrines humanistes avec un joli bonus pour tolérer les hérésies ce qui peut être utile en ces temps de Réforme. Décembre 1550, le nouveau roi est majeur. Et Dieu qu’il est fort : 5/6/6
Et en plus, il va amoindrir l’expansion agressive.
Mais tout n’est pas rose car je reçois ce message en juillet 1553.
Si jamais Louis XII devait mourir, je risque de ne plus avoir le contrôle de mon pays car il passera sous la coupe de la Castille ou de la Russie. Glups.
En novembre 1553, une nouvelle doctrine humaniste qui en plus me débloque une idée nationale : les deux sont fort intéressantes pour calmer les rebelles dans les provinces nouvellement conquises ou pour avoir des technologies moins chères. En 1556, j’adopte la technologie militaire 13 et la technique diplomatique 13. L’année suivante, une nouvelle doctrine humaniste, cette fois assez peu utile.
Décembre 1557, ouf un héritier ! L’union personnelle s’éloigne un peu. Et en plus, il est vraiment bon (3/6/5).
Hélas, mes conquêtes continues, notamment en Catalogne, font que la Castille m’aime de moins en moins. On m’annonce que notre alliance va rompre. Je fais ce que je peux pour empêcher cela mais en vain. En novembre 1558, je la perds.
Je cherche un autre allié costaud (et qui n’est pas sur le chemin de mon objectif) mais ne trouve que la Pologne. C’est mieux que rien. En 1560, un peu trop tard, je débloque une idée humaniste qui m’aide à améliorer plus rapidement les relations diplomatiques…
Heureusement, Louis développe encore de nouveaux talents.
En 1563, une nouvelle idée humaniste qui débloque une idée nationale (« Liberté, Égalité, Fraternité » en 1563….).
En 1565, je rembourse le dernier emprunt que je trainais/renouvelais depuis une éternité… Du coup, en 1566, retour à mon meilleur ennemi : l’Angleterre.
La Castille n’est pas revenue, les Ottomans (et Florence) peuvent s’occuper de l’Autriche tandis que je neutralise Cologne et regarde si je peux espérer prendre Utrecht ou la Frise orientale. Cela parait jouable. Une bataille en mars 1567 (score de guerre 2%) où on voit que mes troupes au sol surpassent les armées anglaises.
En novembre 1567, je mets l’Autriche hors-jeu et récupère une province en Mer du Nord tout en annulant son alliance avec l’Angleterre !
Aïe, aïe, aïe.
Et sur le terrain, tout ne fonctionne pas toujours bien.
Pourtant, j’arrive à annexer la Frise orientale, ce qui me permet de me rapprocher de mon objectif oriental.
Et là, grosse erreur de l’IA qui décide de débarquer à Calais avec trop peu de bateaux. Ses troupes mettent deux mois à venir donc je les attends (malus de -2 pour assaut amphibie). En plus, le général est resté en Angleterre avec le reste des troupes attendant leur transfert.
En 1569, je mets Utrecht hors-jeu contre l’annulation de ses alliances et 10% de ses revenus futurs. Ses provinces coûtent trop cher et tout le monde me déteste déjà. Vu que ce n’est pas dans un territoire prioritaire, je lâche l’affaire. En juin 1569, le score de guerre est à 49% mais je ne peux pas aller plus loin niveau surextension. Je donne une province à l’Écosse, prends un fort au nord-est et fais la jonction entre la Cornouaille et Londres.
Je suis ravi de la tournure de cette guerre (merci les Ottomans) car j’ai bien pu m’implanter sur l’île et aussi poser des jalons pour conquérir en direction de la Baltique (via le Danemark). Au prix d’un peu de bordergore.
Cela dit, l’Angleterre chute.
En 1571, j’obtiens la première capacité de l’Âge de la Réforme. Étant en retard pour les institutions mais ayant une bonne unité religieuse, je choisis celle qui accélère la diffusion des institutions dans les provinces ayant la vraie foi.
En 1572, la France passe de royaume à empire : du prestige, des changements d’intérêt national plus rapide et une acceptation des cultures de la sphère française.
Pendant que je digère mes gains territoriaux et fais baisser l’expansion agressive perçue par mes voisins, l’Autriche s’étend vis-à-vis de la Bavière ou de Venise. Louis continue à être parfait.
Bilan de la session : une guerre très satisfaisante contre l’Angleterre et un premier pas vers l’Est. Si je revendique de bonnes provinces, le plus loin possible, je serai bientôt (dans deux guerres) dans la Baltique. Et de là, je pourrais viser Moscou et Berlin. Cent trente ans de jeu déjà, j’ai l’impression d’avoir été bien lent.
Les Hébrides ? Mais pourquoi ?
Pour la bronzette !! Non, disons que je me disais que cela m’ouvrait des zones maritimes et peut-être aussi plus de distance pour coloniser ou légitimer des provinces. Je pense ne pas l’avoir utilisé finalement (je doute que ça m’ait aidé quand j’ai pris l’Islande)