Bon, l’hiver étant passé, toutes les cultures sont replantées et on peut reprendre une vie norm…
On a donc attendu le début du printemps pour avoir les températures les plus basses de l’année. Le gel tue toutes les plantations, mais ça passe rapidement, et on replante.
Suivent un raid facilement repoussé (il faut vraiment que je construise des défenses avant l’arrivée des premiers robots tueurs), une proposition de caravane intéressante mais hors de mes capacités, la découverte d’un bâtiment antique mystérieux à ne pas ouvrir pour l’instant (imaginez le coffrage du réacteur de Chernobyl en plus dangereux)… et une canicule, quelques jours après les pires gelées de l’année. Y’a plus de saisons.
Mais ça, c’est mineur. Parce que sous terre, la menace gronde. Car oui, quand on creuse sous une montagne (colline ici), on court le risque que des insectes géants se manifestent.
Ici, deux points de sortie, avec une méga-araignée, des spélopèdes, etc. qui ont failli avoir la peau de nos héros. J’ai malheureusement été trop stressé pour faire des captures d’écran (j’y penserai la prochaine fois), mais c’était chaud. Heureusement, de nombreux alpagas, chevaux et muffaloes ont pris des coups d’insectes, ce qui a permis aux humains d’en subir moins.
Trois personnages ont tout de même été sauvés de la mort in extremis, ainsi que Twerp, le cheval favori de Fisher. Vous vous souvenez de l’état dans lequel la mort d’Eugene, le chien de Mila, avait mis la colonie ? Vous comprenez donc pourquoi j’ai tout fait pour le sauver.
La menace suivante, relativement mineure, aurait pu tout de même être la proverbiale dernière goutte.
Mais heureusement, c’est un groupe de marchands qui passait par là qui en a fait les frais, perdant un homme face à des caribous déchaînés. En bref, encore une saison relativement tranquille, faite de travaux de préparation et de soins aux blessés.
Vous noterez tout de même la construction progressive de nouveaux bâtiments à l’ouest, et d’un mur au nord-est pour forcer des attaquants à faire un détour. On peut s’attendre à plus de problèmes par la suite.