
Vajrahasta (on va dire Vajra) a quarante et un ans quand il monte sur le trône. Homme fait, il a déjà un héritier, presque majeur. En principe, son père lui a laissé des forces suffisantes pour continuer à grignoter le Rajasthan. Le hic, c’est qu’il a énormément de rivaux (de mémoire, sept) ce qui risque de lui causer énormément de soucis, que cela soit pour des factions, des complots ou juste pour regarnir les armées.

Vajra commence par annexer pacifiquement (c’est moins cher et moins long) un thikana isolé.

Très vite, son fils est majeur et vient d’être présenté aux vassaux pour améliorer leur opinion.

Vajra envisage une conquête à l’ouest mais suite à un événement, le karma a baissé de dix points et est donc juste en-dessous du seuil requis de 500. Pas grave, juste quelques mois à attendre. Sauf que…

La guerre va être un peu compliquée et Vajra rassemble ses hommes. Surtout que chez l’ennemi, ça bouge pas mal car une faction remplace le samrat, ce qui crée un second conflit.

Mai 1164, Vajra met fin au premier conflit.

S’ajoute une rébellion de paysans (forcément) et en juin 1165, avec 54% de score de guerre, Vajra signe une deuxième paix blanche avec la Rajasthan (aucune trêve de son côté).

Six mois plus tard, dilemme : une faction vise à mettre son oncle sur le royaume du Bengale.Céder ou pas ? Il va bien falloir donner des royaumes (il n’y a pas de malus d’opinion généralisé mais tous les rajs du royaume désirent le titre royal ce qui donne un -20 pour eux) et tant qu’à faire, autant le donner à un membre de la famille (ça se discute). Sachant que Vajra veut faire une guerre au Rajasthan, perdre de l’argent, des hommes et du temps ne servirait à rien. Vajra cède donc. C’est vers cette époque que Vajra est surnommé « le sage » (Age at least 20, Quick
or Genius
or Just
or Patient
, Scholar
. Chance increases with each additional trait you have from this second list.).
Vajra accumule argent et hommes en espérant qu’il ne sera pas trop tard pour l’assujettissement sur le Rajasthan. Et là, coup de chance, le samrat est remplacé par un enfant de quatre ans, qui se prend un conflit interne. L’empire est divisé !! Vajra déclare la guerre aux deux : aux loyalistes pour un gros royaume (le plus gros possible et le plus proche de mes frontières) et aux rebelles juste un thikana (en espérant qu’ils ne se rendront pas trop vite à leur ex suzerain).

La guerre est plus dure que prévu et Vajra subit une grosse perte lors d’une bataille, ce qui le force à recruter des mercenaires et à entamer ses réserves d’argent alors que les factions montent. Petit à petit, autour des cinq années du conflit, la situation devient plus favorable et Vajra laisse monter le score de guerre contre les rebelles. Hélas, ce dernier se rend (pour le conflit interne) ce qui annule la guerre de Vajra. Trois jours plus tard, le samrat du Rajasthan se rend.

Forcément chez les petits royaumes du sud, la menace que représente Vajra fait un bond. Vajra se la joue donc profil bas et annexe pacifiquement un petit thikana indépendant apparu sur le Gange.

Vajra revient donc dans les affaires internes de l’empire en annulant le titre de royaume du Bengale qu’a sa nièce mineure (l’oncle étant mort) et en le donnant à un homme adulte de sa dynastie. Puis Vajra va bambocher à fond juste pour obtenir un succès.

Là, je me suis dit qu’il serait temps de passer la main donc j’ai mis Vajrat à la tête d’armées lors de révoltes de paysans, puis l’ai fait torturer un prisonnier pour devenir déprimé. Et quatre ans plus tard…


Vajrahasta a bien œuvré pour la dynastie : le Rajasthan fait désormais jeu égal en troupes (hors mercenaires).

Son fils, Vajrahasta , 30 ans aura sans doute l’occasion de prolonger ses efforts.
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Optimisation correcte du personnage, adulte dès le départ : quinze ans de jeu et un assujettissement. Vu qu’on ne peut faire ça qu’une fois par personnage, autant faire comme ça. J’ai un peu ragé quand l’ennemi m’a déclaré la guerre trois mois avant moi, mais vu qu’aucune trêve n’était là, cela a été un moindre mal, et ensuite, j’ai bien fait d’attendre un peu et d’affronter des ennemis séparés.