Pour les modalités du défi, ainsi que les règles de la partie, voir cet article
Erdrokan
Il va être temps de s’étendre maintenant que je suis plus costaud, j’ai de bons alliés et que mes cibles préférées sont de moins de moins puissantes. Mai 1600, la Grande-Bretagne attaque la France, ça m’arrange. 1600, nouvelle élection (tradition républicaine 61), je garde mon syndic qui devient 6/5/5. 60 ans, c’est un peu chaud. Et bingo, l’année d’après, il meurt et je dois le remplacer (tradition républicaine 59) et je prends un 4/1/1 de 58 ans (meh). Pauvre France qui se prend en plus les guerres de religion.

C’est donc le bon moment pour attaquer la France (juin 1601). J’appelle tout le monde.

Un an plus tard (37% de score de guerre).

Pourquoi la France est si mauvaise sur le terrain ? Ah oui la banqueroute, ça n’aide pas.

Et donc en janvier 1603, je me sers copieusement.


En 1604, je lance l’intégration de Milan et se termine en 1606. 1604, nouvelle élection (tradition républicaine 63), je garde mon syndic qui devient 5/2/2. En juin 1606, l’institution s’est propagée à Berne. 1607, nouvelle élection (tradition républicaine 65), je garde mon syndic qui devient 6/3/3.
Et la France est bien éparpillée.

Du coup, la France considère plus la Suisse et la Grande-Bretagne comme rivales.

Il va sans dire que j’ai une bonne coalition contre moi donc je vais me faire oublier. Sauf que les États pontificaux m’appellent à l’aide contre Venise (encore !), j’accepte et cela me rapporte un point de faveur l’année suivante (et idem en 1610-1612 pour 24 points car là j’ai davantage aidé mais rien gagné d’autre). En 1608, je termine les doctrines économiques (bonus en productivité, coût des régiments moindres et coût de développement réduit) ce qui me permet de prendre une deuxième politique (administrative cette fois) : +10% d’impôts et +0.2 par an de tradition républicaine (ouiiiii). En 1609, quatrième doctrine d’espionnage : des réseaux d’espionnage faits plus vite et des sièges plus rapides. Dans la foulée, tech militaire 17. J’en profite pour confisquer des terres : 78% désormais.
En 1610, on entre dans l’ère des absolutismes. 1610, nouvelle élection (tradition républicaine 68), je décide de ne pas renouveler mon grand syndic de 67 ans et en choisit un 4/1/1 (40 ans). En 1611, tech administrative 16. Petit coup de théâtre, la France sort des grandes puissances. Quelques nouvelles de l’absolutisme… j’aurais beaucoup de malus au vu de mon régime. Je vais tenter d’augmenter ça autant que je peux.

En 1613, l’Autriche perd encore : deux provinces pour les Ottomans et libération de l’État de Transylvanie.

1613, nouvelle élection (tradition républicaine 73), je garde mon syndic qui devient 5/2/2. Petit point religions.

En 1614, cinquième doctrine d’espionnage : +1 diplomate et des conseillers moins chers. En 1615, j’adopte le Commerce global pour 1944 ducats. Je me rue sur les techs administrative et diplomatique 17. 1616, nouvelle élection (tradition républicaine 73), je garde mon syndic qui devient 6/3/3. L’année suivante, j’abroge le dernier privilège et mon absolutisme maximal arrive à 49. 1619, nouvelle élection (tradition républicaine 73), je garde mon syndic qui devient 6/4/4, ça devient très rentable. Petit coup de stress en 1621.

Du coup, je déclare aussi la guerre avec tous mes alliés, ça va saigner. J’aurais aimé en faire un vassal (avant que ce ne soit un membre d’une union personnelle avec le Britannique) mais il faut un score de guerre de 353%…

En 1621, je prends la réforme gouvernementale qui augmente l’absolutisme max de +25, passant ainsi de 49 à 74 (c’est mieux). En 1622, je prends les trois techs niveau 18. 1622, nouvelle élection (tradition républicaine 71), je garde mon syndic qui devient 6/5/5. Avril 1623, je signe la paix avec la Hollande (réparations de guerre et argent). Et voilà où on en est.

Ensuite, Utrecht out (avec une conversion). Toujours impossible de vassaliser la France (277%, snif) alors je prends ce que je peux.


Cela me permet de devenir un empire !
1625, nouvelle élection (tradition républicaine 69), je garde mon président qui devient 6/6/6. La Bourgogne attaque la France qui cède deux provinces, j’aide l’Espagne contre Naples, et les Ottomans attaquent à nouveau l’Autriche (hey, prends pas tout !!). 1627, mon président est mort donc nouvelle élection (tradition républicaine 71), je prends un 1/1/4 de 54 ans (drôle de jeu où on peut connaître les compétences des gens mais pas leur âge avant de choisir). Fin 1627, la Grande-Bretagne signe une paix blanche avec la France. C’était inattendu mais ça m’arrange car une union personnelle aurait été compliquée pour moi. Pendant ce temps là, l’Espagne s’installe durablement en Italie.


En 1629, j’ouvre un nouveau groupe de doctrines, je me dirige vers « Offensives » après avoir pas mal réfléchi. Mes armées ne sont pas super fortes, donc ça fera du bien. Première doctrine : +1 au choc (moui). En avril 1630, je rameute tous mes alliés pour aller taper sur l’Autriche (et tout le Saint-Empire) : trois contre un, ça devrait aller. Je suis surpris quand le Portugal cesse de me considérer comme rival (mais ça fait toujours du bien) et…. c’est là que mon président meurt (pfff). 1630, nouvelle élection (tradition républicaine 75), je prends un 1/1/4 de… 43 ans. Je vire deux petits pays en 1631, et en 1632 je fais de Trente un nouveau vassal (que je convertis). Je continue à signer la paix avec d’autres petits pays quand je peux avant de récupérer trois petites provinces à l’Autriche.

Avec ça, il ne me manque plus qu’une mission pour finir les missions suisses. Mais il va falloir éliminer l’Autriche, autant dire que ce sera dans longtemps. Quoique….. en 1632, l’Autriche cède dix provinces aux Ottomans (merci mec, mais reste loin). Et la république des deux nations prend le relais contre l’Autriche (ouch).

A la fin de 1632, je prends les cinquième et sixième doctrines d’espionnage : détection des espions étrangers (moui) et bateaux corsaires (j’ai pas de mer). En 1633, la Grande-Bretagne attaque la France (« juste » pour une conquête). 1633, nouvelle élection (tradition républicaine 79), je garde mon président qui devient 2/2/5. Puis je prends la troisième doctrine offensive (durée du recrutement plus courte, meh). En avril 1634, tech admin et tech militaire (miam, de la tactique) niveau 19. L’Autriche n’est plus un rival valable pour moi, donc je dois en choisir un autre : Espagne, non, Grande-Bretagne, non, États pontificaux, non, donc République des deux nations.
Il est temps de conquérir en Allemagne, je mets tous mes alliés contre Cologne (et le Saint-Empire). 1636, nouvelle élection (tradition républicaine 76), je garde mon président qui devient 3/3/6. Je sors Francfort puis la Bourgogne en donnant Bruges à l’Espagne (que je suis sympa). Je continue petit à petit pour en 1638 prendre trois provinces à Cologne. En 1637, je termine les doctrines d’espionnage (moins de corruption) et une nouvelle politique (+33% d’effectif militaire). A l’est, l’Autriche cède trois provinces à la république des deux nations, qui me met en rival peu après. Du côté de la France, cela va mal : elle cède cinq provinces et doit libérer la Gascogne comme État souverain, ce qui m’arrange énormément. Il faut juste que j’arrive à être limitrophe. Je dois abandonner la France comme rivale et prends la Grande-Bretagne à la place.

1639, nouvelle élection (tradition républicaine 74), je garde mon président qui devient 4/4/6. Je prends ensuite une capacité : efficacité administrative +5%. Avant d’attaquer la France, je prends les doctrines offensives 3 et 4 : plus de feu, plus de prestige. Je mets tous mes alliés dans la bataille contre la France car cette dernière est garantie par la Grande-Bretagne (5e grande puissance). Autant dire que je redoute ses navires et surtout ses débarquements. La guerre se passe bien mais je vois que je ne pourrais pas vassaliser la France (il faut 179% de score de guerre). En décembre 1641, je prends la cinquième doctrine offensive : +20% de capacité de siège. 1642, nouvelle élection (tradition républicaine 75), je garde mon président qui devient 5/5/6. La même année, je prends la tech diplo 19. Puis en janvier 1644, je signe la paix et serpente vers la Gascogne (vous me voyez venir ?).


Je passe l’année 1644 à aider (de loin) les États pontificaux contre Naples. Et en avril 1645, je fonds en solo (faut dire que c’est suffisant) contre la Gascogne.

Et un an après, grosse victoire.

1645, nouvelle élection (tradition républicaine 68), je garde mon président qui devient 6/6/6. Juste avant la nouvelle institution, je prends les techs 20 de chaque catégorie. En 1648, je me rapproche du Portugal qui devient mon allié (j’espère que ça pourra un peu contrebalancer la marine britannique). En 1648 (tradition républicaine 69), je reconduis mon président. Le 29 septembre 1648, toutes mes provinces de « Suisse » et « Romandie » ont au moins 26 de développement (objectif 8).


Avant la fin de la période, j’attaque Mayence et le Saint-Empire, mais j’appelle mes alliés.

J’ai juste le temps de me débarrasser de la Bourgogne avant que la période ne s’achève et que les manufactures (institution) n’apparaissent à La Haye (moi qui en avais construit plein, snif).
Bilan en 1650
Je m’amuse beaucoup en jouant république. Il faut dire que j’ai optimisé à fond pour que cela soit le plus rentable possible. A part ça, le début est tendu, comme prévu, il faut louvoyer et ne pas s’agrandir trop vite. J’ai plutôt bien réussi (merci les missions aux bonus surdimensionnés) mais je me suis quand même pris une coalition. Et mon plan initial d’utiliser la France contre l’Autriche, empereur, a dû changer assez rapidement. Très content aussi du choix de mon groupe de doctrines : dans le Saint-Empire, la diplomatie et toutes ses composantes, c’est clé.
Score : 1006, 9e au classement. 77 provinces (+31) et 1313 de développement.

(oui, la Corse est toujours en rébellion, tenue par des particularistes génois).
Techs : 20/20/20. Diplomatiques 7 / Ploutocratiques 7 / Économiques 7 / Espionnage 7 / Offensive 5
Innovation : 15.7. Revenus 186.4, Dépenses -167.5, solde +19.0. Surexpansion : 0%. Efficacité administrative : 36%. Alliances : Danemark, Portugal, Espagne, États pontificaux. Vassal : Trente. Ennemis : Grande-Bretagne, Bohême, République des deux nations. Rivaux : Grande-Bretagne, Bohême, République des deux nations
Soldats 142/163, bateaux 0/12. Absolutisme 71/79. Tradition républicaine : 65, Unité religieuse 98%, Terres de la couronne : 78% (aucun privilège).
Et oui j’ai encore oublié les grandes puissances…



Popo
Les Russes acceptent la paix en septembre 1600 pour un coût très modique vu que la plupart de leurs forteresses occidentales sont tombées et que leurs troupes sont en lambeaux: je ne leur demande que d’abandonner leurs alliés Salzbourg et Autriche, afin de me laisser les mains libres. Pas de réparations ni de territoires cédés, je veux qu’ils restent crédibles face aux Grottomans (Gros + Ottomans, oui je viens de l’inventer).
Seule et sans amis ni troupes, l’Autriche cède dans la foulée: elle m’offre de libérer la Bohème mais je préfère prendre la contrée de Styrie (5 provinces) et un peu d’argent (et libérer Munich). L’expansion agressive, quand on est empereur, semble étonnamment gérable: pas de coalition.
Et il me reste tellement de points de monarque que je développe Zurich pour y avoir l’institution avant la fin de l’année 1600.
Mes troupes rentrent du Grand Est, direction la péninsule italienne: j’attaque Pérouge et, par ricochet, ses alliés Salzbourg et les États du Pape. Rapidement plié aussi: Salzbourg me cède une province, le Pape lâche son allié français, et Pérouse est intégrée à Bologne (mon vassal, donc).
Je décide de rester discret en Europe et me retourne vers l’Afrique, je m’allie au Bénin, en difficulté face au Dagbon et au Mali et qui m’appelle immédiatement au secours: ça tombe bien, j’ai 28k hommes disponibles et techniquement très supérieurs.
Friedrich meurt en août 1607, et le prochain Friedrich (2/3/4) est ok mais ne fait pas rêver. J’hésite à le déshériter mais la folle succession de Friedrichs me retient, je m’en voudrais de le remplacer par un Roger dont le talent serait genre 1/2/3. Plus gênant, un prétendant rassemble 28’000 hommes pour me contester le trône (légitimité 13, c’est vrai que c’est pas top): à ma grande surprise il sera écrasé par la France avant même que je puisse m’en approcher. Merci les alliés, je ne vous le revaudrai pas!
La guerre béninoise se solde par une victoire éclatante – je ne récupère qu’une province mais ce n’est pas grave, ça m’a occupé et fragilisé tout le monde localement.
Retour en Europe pour déclarer la guerre à Venise en mai 1610 sous le prétexte semi-bidon qu’ils sont Réformés: en fait ce qui m’intéresse surtout c’est leur allié pontifical, que je mets en cobélligérant (je n’ai pas de quoi formuler un casus belli car pas de province mitoyenne, et mes vassaux n’ont rien non plus). Vénitiens et Papistes ont pas mal d’amis, mais ce sont de petits amis:
J’ai le Brandebourg et la République des Deux Nations avec moi, on est à 4 contre 1 niveau troupes, et la Suède décide finalement de se joindre à nous: Cilley (réparations) et Cologne (réparations + conversion) sortent au bout d’un an, suivi de Munich (idem) un mois plus tard. En avril 1612, Rome est à moi! (et le Palatinat jette également l’éponge). La Savoie (ou la province de Coni qui lui restait) est absorbée dans la foulée, et j’offre à Venise une paix qu’elle ne saura refuser (elle donne leur indépendance à trois provinces côtières, mais reste Réformée). A la surprise générale de personne, je suis à nouveau peu apprécié dans la région.
Tout ça me rapporte un peu d’argent, et le 1er octobre 1613 j’adopte enfin l’institution du Commerce mondial. Et comme j’ai dû développer un peu quelques provinces pour accélérer le mouvement, je coche également un des objectifs de partie: toutes mes provinces suisses sont à 26 de développement au moins à partir du 10 janvier 1614.
Le 1er octobre 1618 je peux commencer mon cinquième groupe de doctrines (je prends quantité), et surtout je peux déclarer la guerre au Mali.
J’y perds mon allié béninois et suis un peu tristesse, mais d’un autre côté j’ai toujours trois techs d’avance et je suis joie. Bologne est annexée, ce qui me rapproche de quatre provinces de mon objectif de Lac suisse (et me libère un slot diplomatique).
Encore un truc que je remarque trop tard: Rome est protestante le 16 juillet 1621 (a priori plus tôt, mais bon voilà. En tout cas c’est un objectif de moins).
Il aura fallu quand même presque quatre ans pour que tout le monde plie en Afrique, mais en 1622 je suis plus riche de onze provinces et avance résolument vers l’intérieur du continent.
Le 2 juin 1625, alors que ma revendication sur Vienne est sur le point d’expirer, je déclare la guerre à l’Autriche et ses mini-alliés. J’appelle tous les miens à la rescousse: on est à 6 contre 1 en terme de troupes, et même si j’ai une tech militaire de retard je pense que ça devrait le faire.
La paix est signée après deux ans (tous les autres sont déjà sortis): je prends quatre petites provinces, j’humilie ce rival, et c’est à peu près tout.
Retour en Afrique pour attaquer un Dahomey tout seul, tant au niveau des provinces (1) que des alliés (0). Vite absorbé, j’enchaîne sur Djenné (deux petites provinces), qui est allié au Mali (avec qui j’ai encore 10 ans de trêve) et Aïr.
Mais tout d’un coup, c’est le drame: mon Empereur Friedrich meurt, et un prétendant accompagné de 41’000 hommes se soulève! Bon il le fait pile où j’avais une armée stationnée, mais mes 28’000 loyalistes se font balayer. J’ai heureusement de la réserve pas trop loin, et tout rentre rapidement dans l’ordre. Mon nouveau dirigeant produit un héritier (6/5/3), que l’AI me propose d’appeler… Karl. Je le renomme Friedrich.
Le Mali cède, j’offre une paix a minima (je prends sa province atlantique) qui me donne une nouvelle trêve plus courte et me permettra donc de l’attaquer plus directement à ce moment. Aïr accepte également un paix blanche, Djenné est annexé dans la foulée.
Mi-1632 et je prends ma première capacité d’ère (absolutisme +1). Mon Empereur si récemment installé meurt, et me voici donc avec une impératrice régente (2/5/4) pour le proche avenir.
Nouvelle guerre, même région ou presque: j’attaque le petit Dagbon, qui n’est garanti que par la Hollande qui apparemment s’est libérée de son Union personnelle avec la Frônce. Par le jeu des cobélligérances je peux impliquer une demi-douzaine de cités-états de l’Empire – l’objectif ici est de les faire rentrer dans le rang en les forçant à abandonner la Réforme au profit du Vrai Protestantisme. Il y a pas mal de forts à prendre, je demande donc de l’aide à quelques alliés.
Francfort est convertie. La Hollande et les Flandres, trop grosses, s’en tirent avec des réparations. Le Mali perd une province aurifère (ma quatrième, pour un objectif de cinq), ça compensera le fait que notre trêve soit encore étendue. Suivent Rothenburg, Dortmund, Calenberg, Holstein – convertis et taxés. Mulhouse est pour sa part annexée. La Frise orientale cède et se convertit en octobre 1634, et Dagbon rend les armes quelques jours plus tard. Bilan des courses: 18 mois de conflit, deux provinces gagnées, et cinq membres de l’Empire ramenés à la foi protestante (il en reste 30 à “convaincre”).
Il me faut six mois pour décider où porter mon intérêt: on est en juillet 1635 quand je déclare la guerre à Strasbourg, en cobélligérant le Wurtemberg: j’ai des revendications anciennes sur eux grâce aux missions, et leurs alliés multiples mais néanmoins pas très costauds (25k hommes au total, soit moins qu’une seule de mes quatre armées) sont autant de cibles intéressantes.
Le 20 octobre 1637 j’absorbe les deux pays d’un coup:
Deux mois plus tard (01.01.1638), je me lance contre Aïr, déjà bien en difficulté contre le Mali. Il plie rapidement et perd une dizaine de provinces – juste quand la trêve contre le susnommé s’achève: j’attaque derechef, le pays est seul et épuisé, et en quelques mois je l’annexe:
Je cède rapidement mes deux provinces côtières de Rome et Cayor à mes vassaux et tada!, Switzerlake est à moi le 11 avril 1643!
C’est le moment d’un peu de réflexion pour savoir où aller à partir de là: les principaux objectifs de partie qu’il me reste sont: 1. avoir 30’000 ducats en banque; 2. Détruire les Habsbourgs; 3. Asservir la Frônce et 4. trouver une cinquième mine d’or. Je décide de ne ne rien décider avant la fin de cette ère.
Je lance l’annexion de Gênes, et je fabrique une revendication sur Naples, qui le remplacera comme vassal. Le seul problème à ce plan génial, c’est que les Napolitains ont une tech militaire d’avance, et de plus gros stacks! Ma deuxième erreur est que le pays est trop gros, et après avoir appelé mes alliés au secours je me contente en janvier 1649 de quatre provinces, ce qui à la prochaine guerre j’espère me permettront de pouvoir obtenir cette fameuse vassalisation.
On touche à la fin de période et je m’apprête à attendre gentiment le 1er janvier 1650 quand coup de tonnerre, le Hainaut m’appelle à l’aide dans sa guerre défensive contre la France. Je suis l’Empereur, je suis cobélligérant, et je peux donc appeler tous mes alliés au secours alors que la France n’a que des nains à ses côtés. Je réponds présent! Sur le papier les chiffres paraissent en notre faveur:
Et comme un bonheur n’arrive jamais seul, la perte de mon allié français rappelle à mes voisins qu’ils peuvent monter une coalition. Heureusement c’est plus un geste politique qu’un vrai risque militaire:
Le premier janvier 1650 Gênes est intégrée et l’institution des Manufactures apparaît en France (dans le Maine). Ca, c’est du cliffhanger!
Bilan en 1650
J’ai réussi Switzerlake, et honnêtement je pourrais m’arrêter là tant le reste des objectifs me parait bien peu ambitieux en comparaison. Mais bon, après avoir été Empereur peut-on continuer sans tenter d’unifier le Saint Empire?
3e puissance mondiale, 1970 points au score (6e). J’ai 125 provinces. Espagne et Ottomans sont loin devant en termes de développement.
Economie: +180.41/-233.75 (soit -53.3/mois, mais bon, c’est la guerre). 84% des terres de la couronne sont à moi. Tech 20/20/20, innovation 91.5.
Diplomatie: mes alliés sont le Brandebourg, la République des Deux-Nations et la Suède. Djolof est mon seul vassal, et comme je l’ai forcé à se convertir et que Anglais et Espagnols soutiennent son indépendance, il ne sert pas à grand-chose. Grande-Bretagne et Espagne sont mes ennemis et rivaux, et j’ai encore un slot de libre pour me déclarer un nouveau rival (la France probablement une fois cette guerre conclue.
Militairement,159’000 hommes en réserve contre 185’000 en théorie. 147 régiments d’active sur un maximum de 139, le dépassement étant dû à l’intégration de Gênes et de ses troupes.
Dans le monde
La Suède et les Ottomans ont mangé la Moscovie, je doute qu’elle s’en remette. Les Ottomans ont aussi mangé les Mamelouks, tiens. L’Espagne contrôle le Maroc et l’a même converti au catholicisme. Gros empire moghol, mais il est loin et semble plus intéressé par les Indes, donc c’est à ce stade un intéressant développement mais pas plus.
Le Protestantisme est resté un évènement du HRE, à peu de choses près. L’anglicanisme n’a pas tenté les Anglais.
Shun a pris le Mandat céleste, et la Corée ne s’en sort pas si mal. L’inde est passée de 15-20 pays à 3-4 (si on compte les Moghols)
En Afrique, c’est l’Éthiopie qui domine à l’Est.
RAS en Amérique du Sud
Gros Canada français, encore trois fédérations indiennes dans le Sud (en rose, blanc et turquoise) qui ne dureront probablement pas. La Nouvelle-Hollande (à l’Est) est petite, mais elle résiste.