Pour les modalités du défi, ainsi que les règles de la partie, voir cet article

Erdrokan

Je suis en guerre contre Mayence et tout le Saint-Empire. Je gère sans souci en éliminant un à un les adversaires. Je fais un cadeau au Danemark quand je mets la Suède hors-jeu.

1651, nouvelle élection (tradition républicaine 67), je décide de ne pas renouveler mon président de 64 ans, surtout vu ma basse tradition et le fait que j’ai besoin de points militaire et en choisit un 1/1/4 (35 ans, youpi). En 1652, l’institution Manufactures est arrivée à Berne. En fin d’année, je sors la Bohême (empereur) en la forçant à libérer un pays (Lusace). Cela me permet de faire plier Mayence : je prends deux provinces et vassalise puis convertis ce qu’il reste.

En juillet 1654, je prends plusieurs doctrines offensives et termine le groupe : +20% de régiments théoriques, +5% de discipline et du moral qui revient plus vite. 1654, nouvelle élection (tradition républicaine 71), je décide de garder mon président qui devient 2/2/5.

En 1656, toujours motivé pour vassaliser la France, je l’attaque (mais elle est toujours garantie par la Grande-Bretagne).

Las, il faut 149% de score de guerre pour vassaliser. Trop tôt, encore. Las (bis), une comète arrive. Cocasserie liée à mes alliés espagnols (et ses colonies) : on me transfert l’occupation de Paramaribo (Guyane). Ah. 1657, nouvelle élection (tradition républicaine 69), je décide de renouveler mon président qui devient 3/3/6. En 1658, fin de la guerre, je récupère Alençon (britannique) et cinq provinces françaises.

En 1658-1659, j’intègre Trente à mon pays. 1660, nouvelle élection (tradition républicaine 67), je décide de renouveler mon président qui devient 4/4/6.

J’en suis à 86 provinces, on est pas mal.

En 1661, je prends les trois techs 21 (malgré le surcoût). Je choisis aussi une capacité pour changer plus rapidement les taux d’autonomie. En 1663, j’achète Manufactures pour 1717 ducats. Ensuite, je continue à m’étendre dans le Saint-Empire en attaquant Memmingen, l’Empire et d’autres alliés (dont l’Autriche). On est quasiment à quatre contre un, cela devrait aller. 1663, nouvelle élection (tradition républicaine 63), je décide de renouveler mon président qui devient 5/5/6. L’institution m’a coûté cher, je dois emprunter aux bourgeois pour couvrir mon déficit. En 1665, je fais la paix avec deux petits pays avant de saigner l’Autriche (ma vraie cible) pour cinq provinces et la libération de la Dalmatie (ménageons mon expansion agressive). Puis je sors de la guerre en annulant tous les traités de Memmingen avec Bohême et Saxe. Je retourne en paix ce qui me permet en 1666 de rembourser mon dernier emprunt.

1666, nouvelle élection (tradition républicaine 66), je décide de renouveler mon président qui devient 6/6/6 (à 50 ans, ça fait plaisir). En août 1668, je remets ça contre la France, partenaire majeur de la Bourgogne, alliée à Aix-la-Chapelle et garantie par les Britanniques. Seul le Portugal refuse de me suivre, ce qui d’emblée m’empêche d’envisager d’envahir les îles britanniques. 1669, nouvelle élection (tradition républicaine 64), je décide de renouveler mon président qui reste 6/6/6. Je fais une paix blanche avec Aix puis récupère sept provinces françaises et une bourguignonne.

Cela me permet d’obtenir Switzerlake le 16 janvier 1670 (objectif 9). Pas mécontent de l’avoir car ce n’était pas si évident.

1672, nouvelle élection (tradition républicaine 71), je décide de renouveler mon président qui reste 6/6/6. J’en profite pour attaquer Bade qui n’est pas défendu par l’empereur (attaqué par la République des deux nations et qui perdra sept provinces dans un an). En 1673, tech militaire 22, puis même niveau pour les deux autres l’année suivante. J’annexe Munich, puis Francfort et demande de l’argent à Bade. (au même moment, « j’aide » l’Espagne contre les Cherokees, autant dire que je ne fais rien).

En mai 1674, je commence les doctrines de quantité pour avoir plus de régiments et ici +50% d’effectifs (ce sera modifié dans le prochain patch, profitons en). En 1675, je peux m’allier avec l’ogre ottoman (291k soldats) alors je laisse tomber l’alliance avec les États pontificaux (44k). Vu qu’en plus, je « dois » prendre Rome. 1675, nouvelle élection (tradition républicaine 69), je décide de renouveler mon président qui reste 6/6/6. En décembre, nouvelle capacité d’ère : celle qui augmente l’absolutisme annuel de 1. En mai 1676, j’attaque l’Autriche via son allié Memmingen (que j’avais laissé en vie exprès pour ça).

1678, nouvelle élection (tradition républicaine 66) car Johan est mort à 61 ans. Je choisis un 1/1/4 (44 ans, chouette). En 1678, je prends cinq provinces à l’Autriche et fais la paix avec les autres pour de l’argent (et la libération de la Finlande par la Suède qui a bien fait d’intervenir). En 1680, doctrines de quantité 2 et 3 (régiments moins chers et recouvrement plus rapide des effectifs) puis l’année suivante la quatrième (armées moins chères en maintenance). 1681, nouvelle élection (tradition républicaine 71), je décide de renouveler mon président qui devient 2/2/5. En 1682, avec Espagne et Danemark, j’attaque la Bourgogne.

Six mois plus tard, je récupère deux provinces à la Bohême (tant qu’à faire) puis je sors les autres et enfin je prends Namur, Bruxelles et Hainaut à la Bourgogne. 1684, nouvelle élection (tradition républicaine 71), je décide de renouveler mon président qui devient 3/3/6. Le Danemark attaque l’Écosse et m’appelle à l’aide (ce sera gagné). Nouvelle capacité d’ère : une maintenance moins forte des forteresses proches des rivaux. En 1687, techs militaire 23 et diplo 23 qui me donne un casus belli universel. 1687, nouvelle élection (tradition républicaine 68), je décide de renouveler mon président qui devient 4/4/6. Cinquième doctrine quantité : davantage de ravitaillement (ça fera moins d’attrition). En octobre 1688, j’attaque encore l’Autriche via un de ses alliés (Aquilée) et je prends trois provinces en 1689.

1690, une nouvelle comète et une nouvelle élection (tradition républicaine 70), je décide de renouveler mon président qui devient 5/5/6. Tech admin 23 en 1691.

En 1691, j’utilise le nouveau casus belli pour attaquer Ratisbonne et surtout l’Autriche.

Je récupère Vienne à l’Autriche que je force à relâcher la Croatie puis quatre provinces à la Bohême en 1692.

1693, nouvelle élection (tradition républicaine 67), je décide de renouveler mon président qui devient 6/6/6. Sixième doctrine de quantité : plus de garnisons en défense puis je termine le groupe avec moins d’attrition et pour finir +50% de limite terrestre. Moralité, j’ai 275 régiments pour un maximum de 423. Ca change la donne. Capacité inutile : changer de rival. Et encore une comète (décidément…). 1696, nouvelle élection (tradition républicaine 64), je décide de changer de président car le mien a 62 ans. Je prends le 4/1/1 de 52 ans (mbof). On va pas se mentir, c’est un peu tendu.

1699, nouvelle élection (tradition républicaine 68), je décide de garder la présidente qui devient 5/2/2 et qui meurt en novembre. Du coup, nouvelle élection (tradition républicaine 61), je prends un 4/1/1 de 53 ans. Et en 1700 alors que je prends la tech diplo 24, l’institution Les Lumières arrive à Berne (youpi).

Bilan en 1700

Très content d’avoir réussi Switzerlake. Je tire la langue pour la tradition républicaine en revanche. Ma puissance fait boule de neige mais pour finir les missions et donc tuer l’Autriche ça va être dur car il y a une enclave vers la Transylvanie (ce qui implique un passage en République des deux nations). Il me reste à vassaliser la France et d’autres pour gagner, on n’est pas encore là. Mais avec Espagne et Ottomans, ça devrait aller. Pour le roleplay, je suis resté loin des côtes mais pour choper quelques objectifs, il va falloir que je fasse des entorses à ça. En revanche, chercher des provinces aurifères, ça me soûle car je dois aller en dehors de l’Europe (Asie ou Afrique). Mais au moins, j’ai réussi à avoir une institution !

Score : 2243, 8e au classement. 119 provinces (+42) et 2177 de développement.

Coucou la Corse toujours en rébellion depuis 1527 non stop

Techs : 23/24/23. Diplomatiques 7 / Ploutocratiques 7 / Économiques 7 / Espionnage 7 / Offensive 7 / Quantité 7

Innovation : 26.4. Revenus 312.3, Dépenses -251.4, solde +60.9. Surexpansion : 0%. Efficacité administrative : 36%. Alliances : Danemark, Ottomans, Portugal, Espagne. Vassal : Mayence. Ennemis : Grande-Bretagne, République des deux nations. Rivaux : Grande-Bretagne, République des deux nations, vide

Soldats 315/445, bateaux 0/12. Absolutisme 79/79. Tradition républicaine : 63, Unité religieuse 97%, Terres de la couronne : 88% (aucun privilège).

Popo

La guerre contre la France continue et elle est âpre. L’avance alliée est inexorable, même si on peut se demander si un stack de 161’000 hommes est véritablement encerclé, ou si c’est lui qui nous encercle de l’intérieur? 

On ne le saura jamais vraiment puisque le Roy cède le 17 septembre 1653: il libère le Luxembourg et la Bourgogne, me cède Dijon et l’Auxois, et un paquet d’argent pour tout le monde.

Une fois toutes ces aventures passées, la Suède décide de s’appeler Scandinavie, et la coalition qui s’était formée se désagrège. Le temps de reconstituer mes troupes, et en décembre j’attaque l’Autriche et  ses deux petits alliés.

Le 1er janvier 1655 je m’offre l’institution pour 1’400 ducats, et une troisième capacité d’ère (répression implacable) dans la foulée. Salzbourg tombe en 5 mois et se convertit au Protestantisme. Quelques mois plus tard c’est fini: le 21 avril 1656 je prends quatre provinces et force la libération d’Oldenbourg.

Objectif de partie, la province d’Egra (en Bohême) est aurifère et me permet de cocher cette case là (les quatre autres étant l’Inntal en Autriche orientale, Bouré, Bambouk et Lobi en Afrique de l’Ouest)

J’ai assez fait de mal en Europe (bien que, étonnamment, cela ne suscite pas de coalition), je retourne donc en Afrique: j’y déclare la guerre à Yao (et par un jeu de cascade de cobélligérance, 9/10 des pays du Sahel), et libère également Wolof de son lien de vassalité – il était de toute façon déloyal et soutenu par le parti de l’étranger (GB + Espagne), donc bon vent à lui. J’y perds cela dit mon seul accès côtier dans la région, il faudra donc à terme corriger cela.

Dagbon, Katsina, Air, Haoussa et Songhai sont absorbés. Je force Yao à rendre des territoires à Kanem-Bornou (qui ne possédait plus ni Kanem, ni Bornou) de manière à avoir une frontière bien propre et lisse sur mon flan Est. Et, la trêve étant finie, j’attaque et annexe le royaume wolof (moins de six mois, on est en 1664).

Retour en Europe pour attaquer (1666) et annexer (1668) Ulm et compléter une des missions suisses. Je commence également les doctrines diplomatiques.

Le 3 novembre 1669 débute enfin le conflit tant attendu contre la Frônce et ses alliés (Munster, Cilley principalement, le Pape et la Hollande sur les marges). L’objectif pour cette première échauffourée est de l’affaiblir durablement pour les prochains conflits.

Sur le papier on est plus nombreux

Et aussi au niveau du moral et de la discipline

Quoiqu’il en soit, j’appelle tout le monde à l’aide.

L’Empereur nous quitte le 1er août 1670, et exactement un an plus tard j’offre une paix magnanime à 100% de score de guerre: Verdunois et Rethelois (deux provinces à forteresses), Brie (adjacente à Paris, pour les prochains conflits) et Charolais (une province impériale) pour moi; Cambrai (autre province impériale) est rendu au Hainaut; la Provence est libérée et constitue désormais un confortable État-tampon sur mon sud-ouest.

Tout ça plus 3’000 ducats de réparations – avec du bol ça les poussera à la faillite, ou en tout cas ils auront du mal à se racheter des troupes.

A peine tout cela fini, je remets une pièce contre l’Autriche et ses micro-alliés. Cette fois l’objectif est d’en finir.

Ses alliés du Brabant, Berg, Lunebourg et Urbino sont rapidement convertis de forces (+réparations); Salzbourg, étant déjà protestante, s’en tire au rabais (seulement les 10% de réparations); la Saxe est trop grosse pour être rééduquée et ne paie que quelques réparations. 

La paix finale est signée après 18 mois, mais pas comme je l’avais prévue: l’Autriche abandonne la Réforme pour le Vrai Protestantisme, mais l’expansion agressive d’une absorption complète me parait trop élevée: je me limite à quatre provinces limitrophes de la République des Deux Nations (et néanmoins alliée) qui avait également déclaré la guerre aux Autrichiens: en faisant ainsi, j’hypothèque toute chance d’expansion sur des terres impériales pour les Polonais. 

Un petit (3/1/2) Friedrich  naît, nous sommes fin 1673.

Tempus fugit: on est déjà en juin 1676 et je n’ai aucune idée de ce que j’ai fait avant de déclarer la guerre à Cilley (en mettant son allié papal en cobélligérant, ce qui ramène une Frônce encore faible dans la danse). Ah ben si, j’attendais la fin de la trêve suite à la dernière rouste.

Objectif triple ici: 1. convertir Cilley au Protestantisme (ou l’affaiblir en lui faisant lâcher des territoires de manière à le convertir plus tard) 2. Vassaliser le Pape (objectif partiel de partie) 3. raccourcir la trêve avec la France (il reste dix ans) en détruisant les troupes qu’ils ont commencé à reconstituer au passage).

Le Pape tombe le premier, en dix mois. En octobre (soit 16 mois de guerre) la France accepte une paix blanche: la trêve que j’avais jusqu’en 1686 est ramenée à fin 1682. La paix contre (avec?) Cilley est signée en février 1678: ils libèrent trois pays de la côte adriatique, en rendent une à Venise, m’en cèdent une à la frontière autrichienne: si mes calculs sont corrects leur conversion se fera la prochaine fois avec 99% de score de guerre.

On est en 1686 quand je peux repartir contre la France (une petite guerre de conversion contre Gueldre auparavant m’a retardé): tout se passe bien, et après deux ans je force la libération de la Gascogne, la reddition du Hainaut… au Hainaut, de deux provinces continentales à la Bretagne (qui végétait jusque là dans une néobretagne sud-américaine), et je prends Lyonnais, Nivernais, Champagne, Berry et Bourbonnais pour moi (outre deux provinces côtières provençales saisies au tout début de la guerre).

On a désormais non pas une, ni deux, mais trois Frônces. Cela a-t-il un intérêt? Aucune idée. Mais libérer et refiler des provinces m’évite d’accumuler de l’expansion agressive – même si à ce stade je crois que ce n’est plus trop grave.

Cela étant dit, le reste de la partie s’annonce comme une série d’attentes où je vais taper sur la France jusqu’à ce que je puisse l’absorber. C’est distrayant mais sans plus. Je décide donc de m’ajouter un nouveau challenge, à savoir passer les réformes du Saint-Empire, dont je suis après tout le chef aimé.

Étape un: en finir avec la Réforme (18 princes hérétiques).

Je déclare donc la guerre au royaume de Saxe (août 1689), et par le truchement des alliances à une petite dizaines d’États qui seront rapidement ramenés dans le droit chemin:

Lippe, Nuremberg, Memmingen, Goslar. La Gascogne et la Provence perdent deux provinces chacune. Nassau et Dithmarse étant protestante, ils ne font que payer une amende. Les Flandres sont trop grosses pour être vassalisées (j’aimerais me débarasser des Habsbourg à leur tête, je leur fais donc lâcher le Brabant pour les réduire à la bonne taille pour la prochaine fois: mauvais calcul, car le dirigeant brabançon est.. un Habsbourg).

Et comme j’ai appelé les Polonais dans ce premier conflit, je me presse d’attaquer Cilley également, qui se retrouve dès lors un peu seul (la R2N ne pouvant être à la fois mon alliée dans un conflit et mon ennemie dans un autre). Résultats des courses: Poméranie, Ferrare et Cilley tombent dans l’escarcelle protestante. La Saxe suit le lendemain. Il ne reste plus que 11 princes hérétiques dont l’heure viendra, mais on peut passer à l’étape deux:

Nommer de nouveaux princes électeurs. Et accessoirement avoir un héritier, car pour l’heure je cours surtout le risque de devenir partenaire mineur de la Scandinavie (avec guerre de Succession entre Polonais et Suédois, en prime). Mon roi a 45 ans et cinq mariages royaux, je ne m’inquiète encore pas trop trop. Mais un peu.

Je regarde ma -courte- liste d’amis et décide d’accorder l’électorat à Oldenbourg, au Mecklembourg, à Berg, au Duc de Brunswick (pour services rendus à Genève), et la Corse.

J’attaque le Luxembourg, ce qui me permet outre sa conversion d’annexer Brabant et Hainaut, ses alliés, et de me débarrasser des Habsbourgs à leur tête. Nouveau mauvais calcul cela dit: le fait de les relâcher me donne deux nouveaux vassaux dont je n’ai que faire, et ça n’efface pas l’expansion agressive ressentie par mes voisins: une n-ième coalition s’assemble contre moi. 

Seule bonne nouvelle, un petit Friedrich (5/2/0) naît enfin.

Voyant que quatre pays réformés sont dans la sus-nommée coalition, je me décide à l’attaquer – avec tous mes alliés à mes côtés. 15 pays et 160’000 hommes d’un côté, contre quatre nations et 700’000 hommes de l’autre. C’est rigolo mais c’est aussi une nouvelle erreur de calcul: les pays coalisés ne peuvent signer de paix séparée, ce qui veut dire que je ne peux pas les convertir non plus… et en plus d’autres pays s’ajoutent à la coalition (mais pas à la guerre). Bref, le conflit prend fin assez rapidement avec la conversion de la petite cité-état catholique contre laquelle je m’étais lancé, mais pour le reste c’est un échec.

Mon roi meurt d’être si bête, j’ai donc une régence et comme il reste 4 ans jusqu’à la fin de période (nous sommes en 1696), je décide de me faire petit et d’attendre mon heure.

Tabriz, dans le Shirvân, invente les Lumières (mouais).

Bilan en 1700

Pas mal d’erreurs de jugement, j’ai clairement sous-performé. Deuxième grande puissance derrière l’Espagne, sixième au score avec 3920 points.

Revenus: +360.79/-266.73 (soit +94.06/mois), mon absolutisme plafonne à 84 et je contrôle 96% des terres de la couronne.

Côté armées, 250 régiments sur 307 possibles, et réserves au maximum (323k). Mes alliés sont les Moghols, la République des Deux-Nations, la Scandinavie, le Mecklembourg, Clèves, le Brandenbourg, et le Palatinat. Hainaut, Brabant et Pape sont mes vassaux. Espagne, France et Grande-Bretagne sont mes rivaux et ennemis.

Dans le monde

La Moscovie est désormais à l’Est de l’Oural.

Gros Moghols, gros Shun (qui a le mandat), grosse Corée

Grosse Aksoum (ex-Ethiopie), grosse Espagne en Afrique méridionale, et je sens qu’à ce rythme dans 50 ans ils auront aussi l’Afrique centrale sous leur botte.

Le Portugal reste dans les mémoire grâce au Brésil qu’il a fondé, mais c’est tout:

Les dernières fédérations indiennes sont en voie d’extinction