Mieux que Napoléon : 1625 – 1650

En 1625, je continue ma marche vers l’Est : je peux désormais fabriquer des revendications sur la Russie. Objectif : Moscou (et Berlin). Je jette un œil inquiet sur les Ottomans car ils restent toujours aussi puissants et ils ont pris Vienne.

Il y a plein d’événements pour la France, c’est sympa. Ensuite, je prends tout ce que je peux pour augmenter mon absolutisme car c’est le moyen de s’étendre (conquêtes) beaucoup plus rapidement et à moindre coût. Ah, retrouver ce cher cardinal, ça fait plaisir, surtout avec les bonus qu’il apporte. Je laisse passer le temps pour digérer mes conquêtes et me faire oublier de mes voisins (je suis en risque permanent de coalition contre moi car j’ai été gourmand dans des régions fortes en développement et expansion agressive). En 1629, Milan m’appelle à l’aide pour attaquer les Peuls, je réponds « oui » mais sans rien faire (j’ai une seule province là bas que je laisse végéter). En 1629, mon monarque meurt, le remplaçant est correct (4/4/2) mais l’héritière est fort décevante (2/3/1). En 1630, Milan a battu les Peuls, je n’ai rien fait pour aider. Cela dit, un poste de conseiller est libre et je vais prendre le petit Richelieu dans mon équipe ! En 1632, j’adopte enfin la dernière institution (30 ans de retard, je m’améliore). Je me rue donc sur le niveau 18 des technologies administrative, diplomatique et militaire. L’Autriche a perdu de sa superbe. Tiens, encore un événement pour la France.En 1634, je prends la technologie militaire 19 qui me fait notamment augmenter mon score de tactique. Donc je regarde qui attaquer. La Bohème. En plus, l’Autriche (empereur) ne va pas la défendre, c’est tout bonus. Après treize mois de guerre, je fais une paix blanche avec le Danemark. En août 1636, je signe un traité de paix et m’avance vers le sud, vers Vienne. Janvier 1637, je prends les technologies 19 dans les domaines administratif et diplomatique. J’aide ensuite la Pologne à conquérir Polotsk. Et oh tiens, un événement spécial pour la France, salut René. La Pologne gagne sans mon aide. Novembre 1639, mon monarque ne va pas vraiment m’aider à bien m’entendre avec mes voisins… Milan m’appelle pour une autre guerre en Afrique, j’accepte. Et, si je ne me trompe pas, les Ottomans étant défenseurs de la foi sunnite, ils vont protéger le Songhaï et rompre notre alliance (ma mémoire peut être floue sur ce point). Mon héritière assez moyenne en stats, meurt. J’espère avoir quelqu’un prochainement (mon monarque a 26 ans donc a priori il n’y a pas péril en la demeure). Milan gagne en 1643. Je peux choisir un autre groupe de doctrines et j’opte encore pour le militaire avec « défensif ». Le début envoie du lourd. En novembre 1645, j’attaque la Russie. Un seul allié, le Brandebourg, cela tombe bien j’ai des territoires à prendre là aussi. Je note que les Ottomans ne sont plus mes alliés donc plus haut, je dois avoir bonne mémoire. Un mois plus tard. De toute façon, je devrais les affronter pour obtenir Vienne donc c’était inéluctable.

En juillet 1646, je mets le Brandebourg hors-jeu. Prendre des provinces aurait été très cher donc je me contente de réparations de guerre et d’annulation d’alliances. Nouvelle doctrine défensive en mars 1647… qui servira quand j’aurais de nouveaux généraux. Octobre 1647, un nouvel héritier, très prometteur (6/4/4). Mars 1648, score de guerre 44%, le territoire russe est largement occupé par la France. 1648, je prends les technologies 20 d’administratif et diplomatique. En Europe, la Bohème attaque l’Autriche. En 1649, score de guerre 59%, je signe un traité de paix et vais… jusqu’à Moscou (hum). Objectif Moscou atteint !1650, j’avais mis plein de manufactures pour avoir une chance de développer l’institution et encore perdu, elle est à Messine… Du coup, je me rue sur la technologie militaire 20.

Bilan de la session : gros progrès ! Berlin n’est pas si loin et Moscou est prise. Je vais continuer à conquérir progressivement en direction de Vienne, que je dois ravir aux Ottomans. Il faut que je me renforce sur tous les plans pour les affronter en restant serein.